Du nouveau à Puichéric

Lucile Merle a choisi Puichéric pour y vivre et y implanter son cabinet d’ostéopathie. Cette Aveyronnaise a rejoint les racines maternelles. Elle s’est installée route minervoise, dans la maison de ses grands-parents Fifi et Eugène Agard. Lucile reçoit chez elle, se déplace à domicile et adapte les techniques dans les prises en charge de nourrissons, enfants, adultes ou personnes âgées.

Nicole Dufag est à Puichéric depuis le mois d’avril, rue de la Forge. Elle a plusieurs cordes à son arc : médium, guérisseuse, rebouteuse, couturière. Elle anime des conférences et organise des ateliers destinés à se familiariser avec ses capacités, à développer son magnétisme, deux fois par mois, les vendredi et samedi. Elle crée des vêtements sur mesure, effectue des retouches.

Des services complémentaires qui sont et seront appréciés des Puichéricois et des communes voisines.

La Dépêche du Midi

20 ans après l’Unesco

Canal du Midi
Zone clasée Puichéric Canal du Midi

Un décret promulgué le 26 septembre 2017 classe l’ouvrage construit à l’époque de Louis XIV au titre des sites et des paysages. «  Ce classement concrétise (20 ans après) un des engagements (aucun autre n’a été tenu) pris par la France auprès de l’Unesco de préserver l’écrin paysager du canal du Midi lors de son inscription au patrimoine mondial en 1996  ».

Une copie des documents détaillés de classement est consultable en mairie de Puichéric.

Le Classement des abords du Canal vise à «préserver des terres agricoles viables, concevoir un urbanisme respectueux des paysages et développer une activité touristique équilibrée et durable».

Cette partie classée est la zone la plus sensible proche du Canal du Midi, elle doit se substituer à la zone « tampon » définie par l’Unesco,  mais n’inclue pas la zone d’influence qui va jusqu’aux reliefs.

L’herbe de retour dans nos rues ?

Image associéePrévue pour 2020, la loi interdisant l’usage de produits phytosanitaire par les communes est rentrée finalement en application en janvier 2017. Faudra-t-il accepter de voir de l’herbe pousser dans nos villages ? (© la dépêche du Midi).
Que ce soit le désherbage à la flamme, à la valeur, à la débroussailleuse à contre lames ou avec des produits à base de sel ou d’alcool, il n’existe aucune arme efficace pour empêcher l’herbe de proliférer sur nos rues de Puichéric ou d’ailleurs.
Une solution peut-être : des journées « désherbage » où chaque habitant valide pourrait intervenir autour de chez lui en compagnie des autres riverains. Il utiliserait des moyens mécaniques classiques,  et l’après-midi pourrait se terminer par un dîner convivial. Avec en prime une économie sur le budget de la commune.
Mais heureusement (!), il reste encore un lieu public où les désherbants sont encore autorisés : le cimetière.